dont plusieurs milliers de bouteilles sont appréciées chaque année par de nombreux amateurs avertis.
...la cinquième génération apprend avec patience le métier de vigneron et participe depuis plusieurs années avec enthousiasme aux travaux de la vigne et aux vendanges.
Travaillant dans les « galipes » (vignes, en patois champenois)
depuis l’âge de 12 ans,
notre grand-père Maximilien TETARD rêvait d’étudier et d’aller à l’Université.
Il était un
fervent admirateur de Robert de SORBON, enfant du pays Champenois, fondateur au
XIIIème
siècle de la SORBONNE qui offrait aux enfants pauvres l’accès au Savoir.
Aussi, a-t-il rendu hommage à cet érudit religieux exceptionnel,
en donnant son nom
aux Champagnes qu’il élaborait avec amour.
Une longue et belle histoire d'hommes et de terroirs
On retrouve trace de vignobles en
Champagne, campania en latin, dès
l’époque Romaine, mais ce sont
indéniablement les religieux qui au
Moyen-Age développeront les vins
tranquilles de Champagne.
Au XIIIème, la culture de la vigne se généralise, les
métayers btiennent des terres en contrepartie
d’une « tenure à vinage », c’est-à-dire l’obligation
de fournir en vins leurs seigneurs, les Comtes de
Champagne. Affirmant leur réputation au XVIème
siècle, ces vins clairs champenois rivalisent avec
les Bourgognes sur les tables royales.
La fin du XVIIème voit la naissance des premiers
flacons et l’apparition d’un pétillement spontané
des vins alors inexpliqué.
Dom Pérignon, cellérier de l’Abbaye d’Hautvillers,
ainsi que le frère Oudard, s’intéressent à cette
deuxième fermentation des vins qu’ils
sélectionnent et assemblent avec amour.
Ils obtiennent un vin clair à la mousse persistante :
Le Champagne est né...
Le développement commercial commence à la
fin du XVIIIème siècle grâce à l’apparition de
« flacons » plus résistants et à une meilleure
maîtrise de la prise de mousse.
Au XIXème siècle, le monde entier
s’enthousiasme.
le Vin des Rois devient Roi des Vins
et le Champagne n’aura plus qu’un seul but...
faire de chaque instant une fête.